Dans les entrailles du web caché, il existe des forums et des réseaux sociaux où tout se négocie, de la drogue aux fausses identités. Mais une catégorie d'offres fascine tout particulièrement : les clonecards. Depuis quelque temps, des groupes émergent sur les réseaux sociaux classiques, comme Facebook, mais de manière bien plus discrète. Le terme clonecard facebook revient souvent, à la recherche de nouvelles recrues, des acheteurs comme des vendeurs, prêts à plonger dans ce monde dangereux.

Nous avons rencontré "Lucas", qui a passé des années à naviguer dans ce milieu. Il explique que sur clonecard facebook, les offres de clonecards sont postées régulièrement, généralement camouflées sous des messages codés ou des publicités détournées. « Les gens y vont pour trouver le meilleur vendeur clonecard, » raconte-t-il. « C’est comme un marché clandestin à ciel ouvert. Mais il faut savoir qui contacter, sinon tu te fais avoir. » Lucas nous décrit un réseau complexe, où les vendeurs changent régulièrement de compte et de pseudonyme pour éviter d’être repérés par les plateformes ou les autorités.

Le concept de yescard intrigue également beaucoup. La yescard, c'est quoi ? C’est une carte de crédit piratée, capable de tromper les systèmes de vérification, permettant d’effectuer des achats sans fonds disponibles sur le compte. Certains appellent ce phénomène le yescard club, une communauté fermée de fraudeurs partageant des astuces, des tutoriels, et des cartes prêtes à l’emploi. « C’est un club très sélect, » affirme Lucas. « Les membres échangent des conseils sur la façon d’utiliser une carte yescard pour acheter des produits de luxe, ou même retirer de l’argent aux distributeurs automatiques. »

Nous avons également rencontré "Elena", une femme ayant essayé d’acheter une yes card credit card sur l’un de ces forums. Elle explique comment elle a été attirée par les promesses d'un accès facile à un catalogue complet de shopping, le yes card catalogue shopping, où elle pourrait acheter des produits high-tech, des vêtements de luxe, ou même des billets d’avion, sans jamais dépenser un centime de son propre argent. « Tout semblait si facile, » raconte Elena. « Tu avais juste à te connecter au yes card credit card login, et tu pouvais commencer à utiliser la carte comme si elle était la tienne. »

Cependant, le rêve s’est vite transformé en cauchemar. La carte reçue par Elena n’a jamais fonctionné. Après avoir payé près de 500 euros en bitcoins pour obtenir cette fameuse carte yescard, elle s’est retrouvée avec une carte vierge, sans aucune fonctionnalité. Le vendeur qui lui avait promis monts et merveilles avait disparu, changeant son pseudo et supprimant tous ses messages. « Ils m’ont complètement arnaquée, » confie-t-elle. « Je pensais rejoindre le yescard club, mais je n’ai fait que perdre de l’argent. »

Au cours de notre enquête, il est devenu évident que le marché des clonecards et yescards est une course effrénée entre fraudeurs et autorités. Pour chaque vendeur identifié et arrêté, un autre apparaît, souvent plus prudent et plus discret. Les clonecard facebook ne sont qu’une vitrine parmi tant d’autres, et le yescard club reste un cercle fermé, où seules quelques personnes arrivent à percer.

Malgré la fascination qu’elles exercent, les yescards ne sont qu’une illusion pour la plupart de leurs utilisateurs, une promesse de richesses rapides qui se transforme trop souvent en perte financière ou, pire encore, en démêlés judiciaires. Une chose est sûre : ces cartes, qu'elles soient clonecards ou yescards, continueront de hanter le Dark Web et ses adeptes, attirant toujours plus de curieux en quête de fortune facile.